Pouvez-vous vous présenter et nous raconter votre parcours avec le Mahjong chinois ?
[Jeany] : Bien sûr ! Je joue au Mahjong chinois depuis une dizaine d’années. En fait, j’ai commencé par pratiquer le judo très jeune, ce qui m’a donné les notions de patience, de respect des autres et de la compétition amicale.
Pour ce qui est du Mahjong, je l’ai découvert sur un paquebot lors d’un retous en France à quatorze ans. Des passagers jouaient avec des sortes de “dominos” que je ne reconnaissais pas. J’ai été fascinée par le mélange de plaisir esthétique et tactile, la poésie des noms de combinaisons. A l’âge de trente ans, une magnifique boîte de jeu dans une vitrine de magasin a réveillé mon émerveillement, j’en ai fait l’acquisition, et j’ai redécouvert ce plaisir intellectuel avec ma famille.
Aujourd’hui, je pratique en compétition et j’enseigne cette discipline avec passion.
Qu’est-ce qui distingue le Mahjong chinois des autres variantes, comme le japonais ?
[Jeany] : Le Mahjong chinois se caractérise par ses règles traditionnelles et ses multiples façons de marquer des points. Contrairement à la version japonaise (Riichi), il met l’accent sur la stratégie des combinaisons et le calcul des points, tout en restant accessible aux débutants.
Que diriez-vous à quelqu’un qui hésite à découvrir le Mahjong chinois ?
[Jeany] : Lancez-vous ! C’est un jeu convivial et stimulant, parfait pour exercer votre réflexion tout en partageant un bon moment. En quelques séances, on saisit l’esprit du jeu, et il devient vite une passion.
Quels bienfaits le Mahjong chinois apporte-t-il à ceux qui le pratiquent ?
[Jeany] : Le Mahjong stimule la mémoire, la concentration et une grande capacité d’adaptation pour être à même de changer de combinaison en cours de partie (d’où l’intérêt de connaître l’ensemble des combinaisons !! 😉 ), Mais évidemment celles-ci s’acquièrent au fil des jours. Il renforce aussi les liens sociaux, car il se joue en groupe. Soit de façon amicale soit sous forme de compétitions nationales ou internationales.
Comment se déroule une partie de Mahjong, et à qui s’adresse-t-il ?
[Jeany] : Les parties sont ouvertes à tous, débutants comme initiés. Je m’attache à rendre l’apprentissage ludique, avec des explications claires et des exemples pratiques. Mon objectif : que chacun progresse à son rythme tout en prenant plaisir à jouer.
Sophrologue Caycédien depuis 2008, Altaïr est animé par la recherche des méthodes les plus efficaces pour entretenir et améliorer la santé mentale et physique.
Pour cela, il commence par obtenir une licence de psychologie et un master en sophrologie. Suite a quoi, il entreprend une formation continue basée sur les travaux de krishnamurti, la pleine conscience et le silence intérieur qui l’amène à une pratique quotidienne de la méditation et à son intégration dans son exercice professionnel.
Passionné d’arts martiaux depuis l’enfance, après l’aïkido et le judo, il devient ceinture noire de tae-kwon-do et hap-ki-do.
Suite à 15 ans de pratique martiale externe, il découvre le tai-chi et finalement le wing chun mi-tsung.
Ayant trouvé une pratique au carrefour entre santé, bien-être, et martial, il devient formateur en wing-chun mi-tsung après 10 ans d’entraînement quotidien.
Jonathan Bardon, Ceinture Noir 4e Duan, est instructeur Diplômé et médaillé lors des compétitions nationales et interrégionales en combat et en technique.
Essentiellement Spécialisé dans la boxe du tigre (Hu Quan), qu’il pratique depuis plus de 22 ans, il a également été formé à d’autres styles tels que le Hun gar, nan quan, Ba Gua et le Hei Hu Quan, wing chun….
Il a été formé principalement par son père, André Bardon, qui fut formé à l’institut des arts martiaux de Pékin.
Jonathan à aussi reçu une Instruction en Chine durant un voyage solitaire en 2016. Il est allé à la rencontre de différents Maîtres d’arts martiaux dans la province de AnHui, Kung-Fu wing chun, Tong Bei, Bagua, Taekwendoo et Karaté.
Ces échanges tant physiques qu’idéologiques ont confortés son idée de transmettre un art martial bien méconnu de l’occident.
Il enseigne le Kung Fu aux enfants au sein de notre association.
En 2013, Agnès découvre le Tai chi chuan et le Qi Gong. Rapidement tout s’enchaine, la curiosité du début se transforme en passion et le besoin de pratiquer quotidiennement s’installe naturellement. En 2017 elle est acceptée dans l’école de Qi Gong du « serpent et l’oiseau » (devenue « xin Fa ») où elle suit pendant 3 ans les enseignements de P. JULLIEN. Elle obtient son diplôme d’enseignant de Qi Gong puis un diplôme d’état diligenté par le Ministère jeunesse et Sport en 2020. Elle effectue des stages régulièrement et s’implique dans son club d’origine où elle apporte un nouvel élan et le dynamisme qui la caractérise.